KAAMELOTT – PREMIER VOLET : ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC LA COSTUMIÈRE DU FILM, MARYLIN FITOUSSI : « AVEC CE COSTUME, LANCELOT DISPARAÎT DERRIÈRE TOUT LE CHARISME ET LE PANACHE D’UN ARTHUR »

Pour fêter le million d’entrées de Kaamelott – Premier Volet, entretien exceptionnel avec la costumière Marylin Fitoussi. Elle y dévoile quelques secrets de fabrication, évoque ses inspirations pour les costumes de Lancelot et de sa milice, et la manière dont elle a pensé et conçu certaines pièces.
Une interview passionnante sur les coulisses du film d’Alexandre Astier, où Marylin Fitoussi lève le voile sur certaines théories. Attention, spoilers !

Comment êtes-vous arrivée sur le projet Kaamelott ?
Alexandre cherchait des créateurs de costumes pour donner à ses tenues un aspect plus cinématographique que dans la série, mais des créateurs atypiques. J’ai travaillé un peu partout dans le monde, dont une dizaine d’années au Mexique, et c’est peut-être ce parcours hors du commun qui l’a séduit. D’autre part, il y avait une volonté de travailler avec des gens qui ne sont pas du milieu parisien. Kaamelott est un projet local. Pour m’épauler, j’ai constitué une équipe entièrement lyonnaise.
Alexandre a donc appelé deux amis à lui, deux directeurs de production avec lesquels j’avais déjà travaillé par le passé. L’un sur la série Netflix, The Spy, et l’autre pour le film Blackpills. Ils lui ont dit que j’étais une fille un peu bizarre, un peu barrée, qui n’habite nulle part, et que j’allais forcément correspondre à son univers. Je crois que ce qui lui a plu aussi, c’est que je ne connaissais pas la série et que je n’étais pas une fan inconditionnelle. Je n’avais aucune attache avec les personnages, je pouvais les toucher sans avoir peur de défaire quoique ce soit. J’avais une totale liberté car j’étais émancipée de l’univers Kaamelotien.
J’ai passé mon casting dans le bar d’une gare. J’avais potassé en amont et visionné les Livres V et VI car Alexandre voulait axer Kaamelott – Premier Volet sur cette ambiance-ci, sombre. Je souligne que j’ai été très bien coaché par Jean-Christophe Hembert, lequel m’a expliqué qu’avec Alexandre on devait oser, être couillu, sinon, ça ne l’intéresserait pas. J’ai mis des références d’univers que j’aimais bien et lui ai proposé des visuels de ce que pourrait être Kaamelott, pour moi.
Le lendemain, à 8H32, Jean-Christophe Hembert m’a appelé en me confirmant que j’avais décroché le poste.

« Lancelot se transforme. Je ne peux pas en dire davantage, mais il est dans une folie, il est caché dans une sorte de tour, avalé par quelque chose, d’où cette idée d’un costume qui le recouvre presque intégralement »

Parlons directement de l’accoutrement original de Lancelot du Lac, celui qui mobilise l’attention de tous les fans sur les réseaux sociaux. Dites-nous en plus sur ce costume. Quels sont ses secrets ?
Quand j’ai eu ma première réunion avec Alexandre il m’a dit : « Ce n’est pas ce que j’écris qui est important, c’est ce que je n’écris pas. ». Il m’a simplement indiqué ces sensations et c’était à moi de les matérialiser. Pour Lancelot, il y avait cette sensation d’un être malsain. Alexandre aime les dragons bien-sûr, mais il est aussi arachnophile. J’ai réfléchi aux éléments de l’araignée dont on pouvait avoir peur : les proportions, la tête, engoncée au milieu de pattes, le côté poilu pour certaines personnes. Ensuite, je devais retranscrire sur un corps humain. Il fallait donc changer les proportions, que la tête de Lancelot soit en mutation, qu’elle commence à disparaître même, à s’engoncer dans un marasme personnel (et dans le costume). Le costume le gêne, et c’est fait exprès.

Pourtant, ce n’était pas gagné. J’ai eu énormément de mal à trouver le bon costume. Ce sont des heures de gribouillage. Et puis, techniquement, il fallait que ce soit réalisable. Car nous n’avons pas les mêmes moyens que sur un Marvel. Je ne l’ai aimé que quand je l’ai vu en projection équipe. Jusqu’à la fin, il ne m’a pas convenu. Je ne savais pas si je l’aimais ou si je ne l’aimais pas. J’ai dormi une semaine au bureau avec ce costume en face de moi et je me réveillais le matin avec la sensation que quelque chose n’allait pas. La veille du tournage, j’ai compris ce qui ne convenait pas. J’ai conçu le costume avec des fausses fourrures, ce qui le rendait très doux, trop tendre, et moins dérangeant. J’avais davantage travaillé sur l’aspect araignée que sur le dragon. Le costume a été refait la veille. J’ai remplacé la fourrure par du vinyle sérigraphié. Je suis partie chez mon acolyte, Myrte Kilian, designer textile, qui était sur le point d’accoucher, et l’ai forcé à bosser sur sa table de travail pour faire la sérigraphie sur les dernières parties du costume de Lancelot. En le regardant, une fois le boulot achevé, elle se sentait dérangée. J’ai trouvé ça génial que ça provoque un tel sentiment. Cela voulait dire que le pari était réussi.

Thomas Cousseau a directement compris la démarche. Il a vite saisi que ça serait un costume compliqué à faire accepter et à porter. Toutefois, les difficultés pour porter cette tenue difficile l’aidait dans son jeu.
On a réalisé beaucoup d’essayages pour savoir jusqu’où on pouvait aller, jusqu’où on pouvait lui cacher le visage, afin que sa voix reste audible. Ce fut un processus compliqué. Ce costume sort vraiment des sentiers battus et rompt avec la dernière image que l’on voit de Lancelot à la fin de la série. Lancelot se transforme. Je ne peux pas en dire plus, mais il est dans une folie, il est caché dans une sorte de tour, avalé par quelque chose, d’où cette idée d’un costume qui le recouvre presque intégralement. Il disparaît derrière tout le charisme et le panache d’un Arthur. Il est aussi lui-même consumé, avalé, par sa propre jalousie.

Toutes les théories des fans sont un peu vraies. C’est un mélange de tout ce que j’ai pu lire. C’est un costume en transformation, en évolution, on y verra les prémices de quelque chose. Des parties, par exemple, pourront se rajouter, s’entremêler avec d’autres éléments. C’est le seul personnage dont le costume, lié à la personne, sera en complète mutation.

Dans les films où il y a des régimes autoritaires, on constate toujours que les troupes militaires ou la police portent des costumes marquants et qui appuient l’atmosphère oppressante d’une dictature. Lancelot a sa propre milice, elle porte des costumes blancs avec de grands chapeaux. Quelles ont été vos inspirations sur leurs tenues ?
J’adore travailler les costumes comme des sculptures. Ce qui fait toute la beauté d’un costume, ce sont ses proportions. Pour Kaamelott – Premier Volet, je ne voulais pas travailler sur des proportions ordinaires, j’avais envie de costumes imposants, quelque chose d’organique. Ni de faire une armée tout en noir pour en revenir à votre question. Le créateur de costume Olivier Beriot (que j’ai longtemps assisté) avait passé un casting pour le dernier de Roman Polanski, J’accuse, et ce dernier lui a demandé : « Qu’est-ce qui fait que les uniformes nazis sont imposants et font encore énormément peur ? ». Il y a des questions de proportions, des questions de hauteur de calottes, d’épaules, de grands manteaux noirs. Je ne désirais pas aller dans ce sens. J’ai certainement eu une influence du côté de Star Wars, mais nous savions qu’on allait tourner dans la neige et il était évident que cette armée devait se confondre, se fondre dans son environnement et les éléments. Je voulais aussi que l’armée de Lancelot soit très imposante, en même temps complètement « ridicule » avec leurs toques.

L’histoire des toques est intéressante. Je faisais des recherches sur l’armée, et je suis tombée sur la toque d’un militaire russe avec une raie sur le côté comme si une partie avait été décapitée (voir image ci-gauche). J’ai donc créé mes toques sur ce principe, avec la sensation que la toque avait pris un coup de sabre. Une autre photo m’a inspirée, celle d’une toque avec une tête de mort dessus, qui a été ma référence directe. Il fallait que je fasse en 3D une sculpture d’un crâne mi-homme, mi-animal. Les grades des soldats apparaissent d’ailleurs par les figures sur la toque.

J’adore les uniformes de l’armée. Sur tous les films que j’ai fait en tant qu’assistante, je prenais toujours les dossiers de l’armée car, c’est ici qu’on en apprend le plus sur les coupes. Dans un costume militaire, tous les détails ont leur importance. Ça me fascine.

Un costume en particulier interpelle : la tenue du Père Blaise, vêtu tout en noir avec deux triangles entrelacés. Que représentent ces deux triangles et d’où vient cette idée ?
Le noir, c’est pour le côté religieux. Je connais mes classiques (rires). Mais ce que je voulais surtout c’est que, désormais au côté de Lancelot, son costume soit lui aussi engoncé au niveau du col, qu’il monte très haut pour ne pas voir son cou. C’était pour moi le moyen d’indiquer ce signe d’appartenance et peut-être également, une sorte de transformation. Nous sommes sur Le Premier Volet et Le Père Blaise pourrait bien évoluer dans les second et troisième volets.

Quant aux triangles, il y a évidemment ce côté ésotérique. Néanmoins, pour être honnête, il n’y a pas de plus amples explications. Parfois, on ne réfléchit pas toujours à la signification des choses. On se dit simplement que c’est très esthétique, très graphique. Après, des gens projettent des théories et pour moi, c’est formidable. Même si de temps à autre, c’est le fruit du hasard comme ici.
En réfléchissant, peut-être que le triangle représente la trilogie, trois points, trois volets. Ou bien, il y a une autre raison dans ma tête, inconsciente, que je n’ai pas encore saisie.

Il y a une scène très poétique dans le film, c’est celle où Arthur grimpe la tour à mains nues pour rejoindre Guenièvre revenue chercher la couronne de fleur qu’il portait à leur mariage. Les deux s’embrassent pour la première fois depuis longtemps. Guenièvre porte une longue robe blanche, comme si cette scène était un second mariage. Vous avez travaillé les costumes de cette séquence de cette manière, en pensant « mariage » ?

Oui absolument.
J’adore cette scène entre Guenièvre et Arthur. Je la trouve magnifique, je la trouve sublime d’émotion, de retenue. Arthur dévoile une facette profonde et je pense inconnue. À l’écran, on ne voit pas bien la couronne que Guenièvre vient chercher mais je n’ai pas voulu copier la vraie couronne de la série. J’ai fais faire une couronne au stylo 3D. L’idée était de reprendre l’aspect des fleurs blanches évidemment mais de fleurs qui, à l’image de l’amour de Guenièvre pour Arthur, ne se fanent jamais… Des fleurs inventées, atypiques, comme en mutation à l’instar de leur amour.

La robe blanche était aussi dans un but de créer une continuité avec la série. La rupture dans la continuité. Guenièvre portait beaucoup de blanc, c’était un peu son code couleur. C’était évident pour moi que lors de cette scène, où Guenièvre la pure revient chercher la couronne liée au souvenir le plus beau de sa vie , elle devait être en blanc virginal .
Guenièvre lors de sa présentation a un manteau avec un grand nœud stylisé, à l’image d’un paquet cadeau. Elle s’offre, elle est le cadeau, la récompense pour le jeune amoureux qui doit escalader pour la conquérir .

« Pour les Burgondes, je me suis inspirée des Egouns, des sorciers vaudous du Bénin qui, tous les ans, font de grands rassemblements. C’est un délire de la paillette, de la fausse fourrure »

Autre choix artistique intéressant dans le film Kaamelott, ce sont les costumes « traditionnels » des Burgondes aux couleurs pétantes et chatoyantes. Était-ce un moyen de contraster avec les événements un peu sombres du film ?
Ce n’est peut-être pas aussi intellectuel que ça. À la base, il fallait faire une armée. Donc, j’ai visualisé des armées un peu partout dans le monde, traditionnelles, avec des choses qui m’amusent beaucoup. J’avais 70 pages. Alexandre a regardé toutes mes recherches, assis sur son bureau. On s’est tout de suite accroché au niveau esthétique. Mais je ne le voyais pas délirer pour autant. Il était content mais sans plus. Et ce qu’on cherche à ce moment-là, c’est qu’il y ait une étincelle.

Quand je fais des présentations avec un réalisateur, j’emporte toujours avec moi un dossier improbable. Le genre de truc que tu sors en dernier recours.
Dans ce dossier, j’avais noté des recherches sur les Egunguns, des sorciers vaudous du Bénin qui, tous les ans, font de grands rassemblements. C’est un délire de la paillette, de la fausse fourrure, et des vêtements qui ressemblent étrangement à des tuniques de templiers avec des figures dessinées dessus au style art primitif (voir image ci-gauche). J’avais totalement flashé là-dessus. Je lui ai montré en pensant que c’était too-much et que jamais il n’accepterait un truc pareil. Dès la première image, il est resté bouche bée. Puis, il s’est mis à rire. Il m’a posé plein de questions sur les Egouns. Ensuite, il a appelé tout le monde (chef déco, assistant de mise en scène…) et annoncé qu’il s’inspirerait de ces photos-là pour les Burgondes.
Pour les couleurs, je ne me suis pas posée la question. La couleur, les paillettes, c’est la vie. Je souhaitais juste que les costumes soient brillants, pétants, ce qui finalement va parfaitement avec ces gens très atypiques.

[…] Je ne connaissais pas du tout Guillaume Briat, le Chef Burgonde. Grâce à cette rencontre avec lui, j’ai décidé d’aller encore plus loin en ajoutant des fausses fourrures synthétiques et retravaillé également les teints. Nous avons traité certaines couleurs des paillettes à l’acide, d’autres à la bombe. Les couleurs étaient beaucoup moins vives que dans les premiers essais initiaux.
L’atelier qui a fabriqué les costumes des Burgondes les a aimés, magnifiés, transcendés, il avait carte blanche et je les laissais y aller à fond.

Est-ce qu’il y a un costume, que je n’ai pas évoqué, et dont vous aimeriez parler ? Celui de Sting, par exemple ?
Tout le grand col de Sting est fait de perruques, de cheveux que j’ai cousu par bande. J’ai passé une nuit entière à coudre les faux cheveux sur le col que je ne trouvais pas assez imposant au départ. J’ai mis un peu de cheveux noirs pour donner l’impression que ça vient d’un animal un peu bizarroïde, sans pour autant que l’on sache de quel animal il s’agit. J’ai donc passé cette nuit-là à coudre, ce que je déteste le plus au monde. Je devais assumer mon désir d’avoir une proportion un peu plus grande.

Image ci-droite : l’inspiration de Marylin Fitoussi pour le costume des Saxons.

[…] J’avais carte blanche sur tous les costumes. Parfois, Alexandre a des moments de confiance absolue. Il a peut-être été surpris par certains costumes, il a peut-être aussi détesté certains, je n’en sais rien. Souvent, il disait « on est beau aujourd’hui ». Cette phrase, c’était la récompense suprême. Dès lors, on sait que ça lui plaît.
Je me souviens que la veille de tourner la scène du robobroll, il m’avait réclamé « un truc bien con ». C’est là que nous avons eu l’idée d’habiller les chiens avec des fausses fourrures, par exemple. On se lâchait et on improvisait avec ce qu’on avait sous la main. Il y avait une ambiance, une énergie où tout le monde était porté pour livrer le meilleur film possible.
Il y avait également de ma part une volonté de ne pas trahir la costumière de la série Anne-Gaëlle Daval. J’ai respecté, par exemple, les codes couleurs de Perceval et Karadoc.

Ma critique du film est à retrouver ici.

Merci à Marylin pour son extrême gentillesse. Bien entendu, nous n’avons pas pu évoquer tous les costumes du film et leur création mais restez à l’écoute, nous ne sommes pas à l’abri d’une partie II.

9 commentaires sur “KAAMELOTT – PREMIER VOLET : ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC LA COSTUMIÈRE DU FILM, MARYLIN FITOUSSI : « AVEC CE COSTUME, LANCELOT DISPARAÎT DERRIÈRE TOUT LE CHARISME ET LE PANACHE D’UN ARTHUR »

  1. avec un peur bonheur je viens de voir le premier volet de Kaamelott …et j’y retourne demain pour mieux m’en impregner . 5 ça m’arrive parfois pour certains films …) une pépite ce premier volet . tt d’abord il ne faut pas etre impatient et suivre le rythme de kaamelott … il n’a pas envie de revenir bon ! les flashbacks sont interessants et le voir jeune adolescent soldat amoureux timidement , mais vraiment de cette jolie jeune fille battue ? brulée ? donne du corps à kaamelott qu el’on peut croire peu enclin à l’amour dans la série . J’ai tjrs adoré Guenièvre , fariche , naive ( pas tant que ça ) et intelligente . D’ailleurs il écoute ses conseils ..et un faible pour Perceval … il n’y a aucune longueur , une mise en bouche en fait qui justifie largement la suite . Je ne sais pas d’ou ça vient j’ai souvent eu le sentiment avec kaamelott ( Alexandre Astier ) d’ete amenée là ou j’avais envie , une surprise sans en etre une .. un raisonnement qui st correspond au mien . en tts cas un pur bonheur de le suivre ( J S Bach sur scene ) son monde me convient … ça frappait dur dans la salle de cinéma , les lumières du désert somptueuses avec C.Cornillac …. les souterrains et les casques avec une petite flamme pour éclairer ( comme un petit germinal ou du moins le monde des mineurs de fond ) quel esprit tjrs en ebullition A.Astier , mais tjrs avec une maitrise , peaufinée . … et les costumes superbes . celui de lancelot met mal à l’aise sur la fin … des écailles ? un amphibien , lézard ? la tete de lancelot devient si petite , les yeux cernés comme une tete de tortue dans une carapace ou il semble etre prisonnier …. bref , tt y est , la magie , excalibur qui a bien du mal à scintiller , les décors , la bataille avec les chars immenses m’ont fait penser aux combats de César , un peu comme Cleopatre / e .taylor …. ho ! ça fourmille là haut . Mais surtout commment met on autant d’idées dans une pellicule . TT est réussi la musique , les références à stars wars …et Sting ! ce film est inexplicable , tt simplement magique , amusant ( il en en eut des rires dans la salle ) tjs la mm bande de  » bras cassés  » …. j’ai un peu révisé les épisodes passés , et je suis persuadée que les jeunes gens qui ne l’auront pas suivi il y a 15 ans , auront envie de voir la série … comme un livre qu’on achète apres avoir vu le film .
    Je ne sais plus quoi dire , ne faisant pas partie des  » sachants critiques de tts bords  » qui font la fine bouche ou spychanalysent tt et rien . Ce film est la Belle surprise a Belle comédie historique à voir , revoir …hate des aures volets …il fallait bien ce premier et les explications que l’on y découvre pour mieux comprendre kaamelott …. merci à A.Astier , aux comédiens , costumiers … bref tt ce qui fait le cinéma . Avec OSS117 et J Dujardin me voilà comblée de joie et de rire ….deux films intelligents . 0 savourer .

  2. Les costumes sont catastrophiques !

    Quel scandale ! Ils ruinent complètement l’esprit de la série et n’ont aucun sens d’un point de vue historique ! C’est une honte de se faire appeler costumière, il serait préférable de déguiser des clowns à l’avenir !

    Par contre, si je veux me déguiser pour halloween, le goûter de mon neveu, ou pour un anniversaire surprise, je sais vers qui me tourner.

  3. Quelle déception!! Et c’est peu dire. Les costumes sont ratés, hors sujet voir ridicules. La renommée de mme Fitoussi aurait pu être un gage de qualité mais les choix des formes, des couleurs et même des textures reflètent un amateurisme vraiment choquant. Que Lancelot se transforme, pourquoi pas mais que l’armure soit en vinyle ça se voit vraiment. Je trouve également que les costumes en général sont trop neufs, trop blanc, trop propres. La costumière est loin d’être compétente dans la réalisation de costumes de fantasy médiéval malheureusement.ma référence c’est le seigneur des anneaux et bilbo le hobbit de peter Jackson, certe on est pas sur les mêmes budgets mais les gens qui ont travaillé sur ces films sont de vrais passionnés. J’aurais aimé voir des burgondes beaucoup plus médiévaux, guerriers quite a les faire se changer quand la guerre est finie. Les vêtements du prêtre sont trop propres et je ne comprend pas les motifs triangulaires sur les vêtements. Bref le film est décevant et les costumes encore plus.

  4. Quelle surprise que ce premier volet. L’esprit du bien contre le mal est retranscrit jusque dans les costumes. Le génie créatif est présent tant dans le scénario que dans l’interprétation.
    Un régal dans un cinéma qui de perd actuellement dans de mièvres histoires justes destinées à faire des entrées

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