BILAN CINÉ 2021 : TOP 10 DES MEILLEURS FILMS ÉTRANGERS

Suite au Top 10 des meilleurs films français de 2021, voici la seconde partie de ce bilan cinématographique de l’année.
Ici, vous retrouverez le Top 10 des meilleurs films étrangers.

1. Désigné Coupable de Kevin Macdonald

Synopsis : Capturé par le gouvernement américain, Mohamedou Ould Slahi est détenu depuis des années à Guantánamo, sans jugement ni inculpation. À bout de forces, il se découvre deux alliées inattendues : l’avocate Nancy Hollander et sa collaboratrice Teri Duncan. Avec ténacité, les deux femmes vont affronter l’implacable système au nom d’une justice équitable. Leur plaidoyer polémique, ainsi que les preuves découvertes par le redoutable procureur militaire, le lieutenant-colonel Stuart Couch, finiront par démasquer une conspiration aussi vaste que scandaleuse. L’incroyable histoire vraie d’un combat acharné pour la survie et les droits d’un homme.

Casting : Jodie Foster, Tahar Rahim, Shailene Woodley, Benedict Cumberbatch…

Avis : Tiré de l’histoire vraie de Mohamedou Ould Slahi, accusé à tort d’être à la tête du recrutement des attentats du 11 septembre, Désigné Coupable est une véritable bombe émotionnelle. Un film juridique poignant, intense, porté par des comédiens d’une justesse perturbante. Tahar Rahim en tête, qui livre une interprétation à fleur de peau dont le phrasé, authentique, bouleverse. 
Un grand film qui met aussi en lumière les dérives d’un système juridique vengeur, basé sur la rancœur et la haine. Les traitres sont ceux qui sont animés par la Justice, les gentils par une ambition : condamner et offrir à la population un ou des boucs-émissaires. Une histoire vraie effroyable, où les Droits de l’Homme sont bafoués, où la violence est cruelle, cachée du reste du monde. 

Enfin, le format 4/3 (?) des flashbacks est une idée brillante. Elle permet une immersion totale du spectateur dans l’univers carcéral de Guantanamo et de vivre l’expérience de manière viscérale. Ce format appuie aussi le côté anxiogène et oppressant non seulement du récit mais surtout de ce que vivent les prisonniers sur l’île et les sévices psychologiques et physiques qu’ils subissent.

2. Le Dernier Duel de Ridley Scott

Synopsis : Basé sur des événements réels, le film dévoile d’anciennes hypothèses sur le dernier duel judiciaire connu en France – également nommé « Jugement de Dieu » – entre Jean de Carrouges et Jacques Le Gris, deux amis devenus au fil du temps des rivaux acharnés. Carrouges est un chevalier respecté, connu pour sa bravoure et son habileté sur le champ de bataille. Le Gris est un écuyer normand dont l’intelligence et l’éloquence font de lui l’un des nobles les plus admirés de la cour. Lorsque Marguerite, la femme de Carrouges, est violemment agressée par Le Gris – une accusation que ce dernier récuse – elle refuse de garder le silence, n’hésitant pas à dénoncer son agresseur et à s’imposer dans un acte de bravoure et de défi qui met sa vie en danger. L’épreuve de combat qui s’ensuit – un éprouvant duel à mort – place la destinée de chacun d’eux entre les mains de Dieu.

Casting : Ben Affleck, Matt Damon, Adam Driver, Jodie Comer…

Avis * SPOILERS * : Le génie du film tient dans sa narration en trois temps. Ridley Scott nous dévoile dans ces deux premières parties, deux vérités qui, semble-t-il, vont se confronter dans un derniers tiers au sein d’un procès intense. Mais il n’en n’est rien. Si la version de Carrouges nous paraissait être la bonne version de l’histoire, un troisième chapitre se révèle à nous : La Vérité. Et cette vérité, elle nous explose au visage, assourdissante. 
Carrouge n’est ni l’homme d’honneur, ni le mari aimant que sa version le prétend, ni même la risée du monde comme le décrit la version de Jacques Le Gris. Lui-même n’est pas exempt de défauts et pas si fidèle en amitié qu’il le sous-entend. 

C’est lorsque Marguerite prend la parole, que toutes nos certitudes explosent, que ce que nous espérions la Vérité (celle de Jean) se brisent en mille morceaux. Jean de Carrouges est en réalité une brute, un simple d’esprit sans scrupule, attiré égoïstement par l’héritage et la dote de sa femme. Quant à Jacques, même la scène du viol est moins édulcorée que sa version, plus violente et cruelle que ses dires donc. 

Ridley Scott hurle alors au monde : croyez les femmes, n’écoutez que leurs versions des faits ! Les hommes sont lâches et embelliront toujours la vérité. Et il a raison. Sous cette époque où la parole des femmes se libère, continuons de les laisser parler, s’exprimer. Écoutons leurs souffrances, leurs peines et agissons ensemble pour que plus jamais les crimes commis contre elles ne restent impunis. Ce film est un message d’espoir, porté par une Jodie Comer magistrale. Sa Marguerite est forte. Elle fait face à un monde d’hommes brutal et terrifiant, avec une détermination et une rage sans équivalent. Ridley Scott ne la pose jamais que comme une simple victime mais, au contraire, comme une force de la nature prête à en découdre et à faire bouger les lignes.

Le Dernier Duel est un grand film. Ridley Scott signe ici une fresque historique moderne soignée et intelligente. Au-delà de tout cela, soulignons le travail sur le son. Grandiose !

Mon reportage sur The last Duel avec le figurant Quentin Ogier et Rogier Fackeldey, responsable communication de l’Abbaye de Fontfroide, est à retrouver ici.

3. Pig de Michael Sarnoski

Synopsis : Un chasseur de truffes vit en ermite dans la nature sauvage de l’Oregon, quand l’enlèvement de sa truie truffière le pousse à retourner vers la civilisation à Portland où il devra faire face aux démons de son passé.

Casting : Nicolas Cage, Alex Wolff, Adam Arkin, Nina Belforte…

Avis : Le cinéaste Michael Sarnoski réalise son anti-John Wick d’une profonde humanité. En opposant la non-action à l’action pure, Michael Sarnoski capte toute la solitude, toute la détresse et les sentiments cachés de son héros-ermite, pour en concentrer la force et la puissance dans sa mise en scène.
La non-violence comme arme de guerre et la nourriture (le repas) en guide de pardon, de réconciliation. L’idée est brillante ! Un retournement de situation d’une beauté émotionnelle sans égale.

Nicolas Cage, lui, parvient à renouer avec le grand cinéma. Des années d’errance pour retrouver aujourd’hui un film à sa hauteur et dévoile au passage son talent et son génie, qui n’était pourtant plus à prouver.
Son interprétation, authentique et sobre, donne une force pugnace à sa tristesse, son parcours en ville, et aux propos de PIG.

4. Violet Evergarden de Taichi Ishidate

Synopsis : Violet Evergarden est toujours incapable d’oublier Gilbert, son ancien supérieur hiérarchique. Un jour, alors qu’elle reçoit une demande d’un jeune client, CH Postal découvre une lettre sans adresse dans leur entrepôt.

Casting vocal : Yui Ishikawa, Takehito Koyasu, David Roach, Daisuke Namikawa…

Avis extrait * SPOILERS * : […] Côté réalisation, l’œuvre de Taichi Ishidate touche au sublime. Il s’en dégage une pudeur, une innocence et une chaleur cristalline où chaque plan est une véritable œuvre d’art. Le tout monté avec une rigueur implacable, qui délivre une puissance émotionnelle insurmontable pour le spectateur. L’enchaînement des séquences est si homérique, les scènes étant transcendées par l’écriture de Reiko Yoshida, qu’il devient difficile de ne pas être ému sur l’intégralité des 2h20.
La caméra a également un rôle majeur dans la transmission des émotions. Elle agit de deux façons dans les moments mélodramatiques :

. Soit le réalisateur utilise le gros plan, fixe, sur le visage des personnages afin de capter toutes les émotions que vivent intérieurement les protagonistes et permettre aux spectateurs de les ressentir aussi vivement.
. Soit la caméra s’écarte et laisse les personnages vivre leurs émotions dans la plus grande intimité, nous laissant avec des plans plus larges, tout aussi intenses.

Le plus beau des exemples et lorsque Violet pleure dans les bras de Gilbert. La caméra s’éloigne, renonce à toutes formes d’intrusion, mais nous autorise à cohabiter avec eux, de loin, et d’être submergé par la conclusion d’une romance devenue réalité, d’en être les témoins privilégiés. Un plan large d’un lyrisme enchanteur, où Violet et Gilbert, au clair de lune, s’avouent enfin leurs sentiments. L’un avec des mots, l’autre avec des larmes. Puissant !

Ma critique complète est à retrouver ici.
Mon interview d’Héléna Coppejans, la voix française de Violet Evergarden, est à retrouver ici.

5. The French Dispatch de Wes Anderson

Synopsis : The French Dispatch met en scène un recueil d’histoires tirées du dernier numéro d’un magazine américain publié dans une ville française fictive du 20e siècle.

Casting : Timothée Chalamet, Tilda Swinton, Bill Murray, Léa Seydoux, Benecio Del Toro…

Avis : Avec sa narration découpée en plusieurs histoires, Wes Anderson dépeint un monde plein de sensibilité, d’humour et d’espoir où se succèdent une galerie de personnages sublime, touchant et décalé.
La maîtrise de sa mise en scène sublime le tout, magnifie ses histoires par sa géométrie, sa folie et son animation ingénieuse. Chaque plan est un tableau, une peinture pensée comme une œuvre d’art pour nous raconter quelque chose d’hors du commun.
Ce qui frappe aussi, ce sont les détails. Les accessoires, notamment. Tous les éléments du décors semblent avoir été choisis avec soin, sans hasard, et sont mis à une place bien définie pour alimenter l’image, lui donner une âme, une vie, une identité propre. C’est toute la beauté de The French Dispatch. Au-delà des histoires contées, l’intelligence de la réalisation.

6. Zack Snyder’s Justice League de Zack Snyder

Synopsis : Bruce Wayne est déterminé à faire en sorte que le sacrifice ultime de Superman ne soit pas vain; pour cela, avec l’aide de Diana Prince, il met en place un plan pour recruter une équipe de métahumains afin de protéger le monde d’une menace apocalyptique imminente. La tâche s’avère plus difficile que Bruce ne l’imaginait, car chacune des recrues doit faire face aux démons de son passé et les surpasser pour se rassembler et former une ligue de héros sans précédent. Désormais unis, Batman, Wonder Woman, Aquaman, Cyborg et Flash réussiront-ils à sauver la planète de Steppenwolf, DeSaad, Darkseid et de leurs terribles intentions ?

Casting : Henry Cavill, Ben Affleck, Gal Gadot, Ezra Miller, Jason Momoa, Ray Fisher, Diane Lane et Amy Adams.

Avis extrait : Un cri.
Un cri de douleur et de rage qui résonne de par le monde.
Le cri d’un héros qui se sacrifie pour l’humanité.
Ainsi commence Justice League Snyder Cut, par un Superman en souffrance et un hurlement, que la Terre entière entendra jusqu’à Themyscira et Atlantis.
Chez Whedon, le film débutait avec ce qu’on appelle aujourd’hui l’affaire de la « moustache » où Superman répondait aux questions de deux enfants. Une séquence sans intérêt, moquée, de surcroît, par les internautes. Un sabotage ? Peut-être. Une arnaque ? À n’en pas douter.
Zack Snyder, lui, fait un autre pari. Celui de la désolation. Afin de montrer l’impact du passage de Superman sur notre planète, le réalisateur fait entendre la souffrance de son héros (la sienne aussi, peut-être), qui va alors toucher chaque individu.

En voyant la Terre des Amazones et des Atlantes par l’extension de ce cri, on comprend davantage que les Hommes, mais pas seulement, ont perdu un être cher, un être capable de redonner foi à une humanité en perdition. On perçoit, même chez ces peuples antiques, une inquiétude face à cette disparition.
La mort de Superman sera un des fils conducteurs d’une partie du récit. Avec une ouverture si puissante, Snyder nous confronte d’abord à un monde froid, à une infinie tristesse – personnifiée par Martha Kent et Loïs Lane -, pour plus tard, appeler à un nouvel espoir.
Une résurrection à l’image de la Justice League de Zack Snyder…

Mon analyse complète est à retrouver ici.

7. The Father de Florian Zeller

Synopsis : THE FATHER raconte la trajectoire intérieure d’un homme de 81 ans, Anthony, dont la réalité se brise peu à peu sous nos yeux. Mais c’est aussi l’histoire d’Anne, sa fille, qui tente de l’accompagner dans un labyrinthe de questions sans réponses.

Casting : Anthony Hopkins, Olivia Colman, Imogen Poots, Rufus Sewell…

Avis : Œuvre poignante sur la maladie d’Alzheimer, Florian Zeller révèle dans une mise en abyme astucieuse la complexité d’une maladie qui ronge vos perceptions et vos souvenirs.
Pour mieux comprendre la dévastation cérébrale d’Alzheimer, le cinéaste nous fait rentrer directement dans la peau du personnage – brillamment interprété par Anthony Hopkins -pour déboussoler le spectateur et ainsi le perdre, lui aussi, dans une mise en scène où la vérité et les inexactitudes se mêlent.
Un drame qui ne laisse pas indifférent !

8. The Power of the Dog de Jane Campion

Synopsis : Originaires du Montana, les frères Phil et George Burbank sont diamétralement opposés. Autant Phil est raffiné, brillant et cruel – autant George est flegmatique, méticuleux et bienveillant. À eux deux, ils sont à la tête du plus gros ranch de la vallée du Montana. Une région, loin de la modernité galopante du XXème siècle, où les hommes assument toujours leur virilité et où l’on vénère la figure de Bronco Henry, le plus grand cow-boy que Phil ait jamais rencontré. Lorsque George épouse en secret Rose, une jeune veuve, Phil, ivre de colère, se met en tête d’anéantir celle-ci. Il cherche alors à atteindre Rose en se servant de son fils Peter, garçon sensible et efféminé, comme d’un pion dans sa stratégie sadique et sans merci…

Casting : Benedict Cumberbatch, Kirsten Dunst, Kodi Smit‑McPhee, Jesse Plemons…

Avis : Au cœur d’un monde divisé entre le Far West et la Révolution Industrielle, Jane Campion filme la perversion et la masculinité toxique.
La virilité, le machisme, seule échappatoire pour s’emparer du respect et de l’autorité. Le narcissisme poussé à l’extrême pour se défendre, par jalousie, par défaut. À travers le portrait de Phil Burbank (Benedict Cumberbatch), la réalisatrice dépeint alors des thèmes et des problèmes d’images sociales encore d’actualité, avec une force oppressante et une mise en scène brutale. Elle questionne et offre ainsi une réflexion sur l’image de l’homme et ses difficultés à s’accepter, à trouver une voie dans l’émotion qu’on cloisonne dès le plus jeune âge.

Confronté à la bonté de son frère et à son innocence, Jane Campion fait coexister deux tableaux, deux tonalités, révélant un western particulièrement innovant.

9. Wendy de Benh Zeitlin

Synopsis : Elevée par sa mère célibataire, Wendy s’étiole dans un quotidien dénué de magie. Un soir, la fillette part à l’aventure en sautant dans un train en marche avec ses deux petits frères, les jumeaux James et Douglas. Au terme du voyage, ils débarquent sur une île mystérieuse, où les enfants ne semblent pas vieillir et où règne un garçon rebelle, nommé Peter Pan.

Casting : Devin France, Yashua Mack, Gage Naquin, Amber Heard…

Avis : Une réinterprétation moderne du conte de Peter Pan, percutante, bouleversante et pleine d’espoir.
Benh Zeitlin nous plonge dans un monde hors du temps, réaliste, confronté à l’innocence des enfants et la misère humaine des adultes. Un film où Benh Zeitlin nous donne aussi une voie à suivre : toujours garder son âme d’enfant, toujours regarder le monde avec les yeux d’un enfant, pour continuellement s’émerveiller et conserver cette chaleur altruiste nécessaire.
Wendy, c’est l’allégorie du temps qui passe. Une volonté de s’affranchir, de s’émanciper, d’oser et de partager. Un regard sur le monde bienveillant, sans différence.
Il y a dans Wendy, des sous-lectures passionnantes et une réutilisation de l’environnement, des personnages et du concept lié à Peter Pan absolument intelligentes. Une modernité bluffante pour un long-métrage qui l’est tout autant.

10. Headache de Fabien Dufils

Synopsis : Sarah, une jeune femme en difficulté, devient un sujet de test pour un implant médical expérimental d’intelligence artificielle. Lorsque l’implant devient malveillant et prend le contrôle de son corps, Sarah se bat pour survivre avec un seul choix : vivre ou mourir.

Casting : Michelle Girolami, Scott Broughton, Martin Ewens, Bari Hyman, Ivo Velon, Edouard Montoute…

Extrait reportage : Anciennement intitulé « Headhache », Implanted est né de l’imaginaire de Fabien Dufils. Un parcours du combattant pour ce cinéaste qui s’est battu pour réaliser ce long-métrage d’anticipation dont le tournage s’est achevé en octobre 2019, après une première version tournée en 2018 mais dont le résultat ne correspondait pas à ses attentes.
Implanted est le projet type qui se construit pas à pas, qui a besoin de temps, de mûrir pour exister. Les échecs sont productifs et c’est ainsi qu’Implanted peut désormais se targuer d’être un véritable thriller futuriste à l’américaine avec, néanmoins, cette french-touch qui séduit.

Fabien Dufils a également écrit (au côté de David Bourgie), produit, dirigé la photographie et le casting, un touche à tout qui maîtrise sa caméra, son cadre et sa lumière, au point de livrer une œuvre esthétique puissante et un scénario catastrophe viscéral. Implanted est le genre de film où l’aspect « anticipation » n’est pas un prétexte à un spectacle grandiloquent, au contraire. Fabien Dufils développe un côté urbain et ancre le récit dans une réalité effrayante qui se dessine à l’heure où j’écris ces lignes.

Mon reportage complet avec l’interview du scénariste David Bourgie et l’actrice Michelle Girolami est à retrouver ici.

Ils auraient pu être dans le top :

. Tick, Tick… Boom! de Lin-Manuel Miranda
. Un Espion Ordinaire de Dominic Cooke
Ma critique d’Un Espion Ordinaire est à retrouver ici.
. Josée, le Tigre et les Poissons de Kotaro Tamura
. La Jeune Fille et l’Araignée de Ramon Zürcher et Silvan Zürcher
Ma critique de La Jeune Fille et l’Araignée + mon interview du réalisateur Ramon Zürcher sont à retrouver ici.
. My Son de Christophe Carion
Mon interview du réalisateur + mon avis sont à retrouver ici.
. West Side Story de Steven Spielberg
. The Dig de Simon Stone
Ma critique de The Dig est à retrouver ici.
. Beyond The Infinite Two Minutes de Junta Yamaguchi
Ma critique de Beyond The Infinite Two Minutes est à retrouver ici.
. Matrix Ressurections de Lana Wachowski

Les petits kiffs de l’année :

. Raya et le Dernier Dragon de Don Hall et Carlos Lopez Estrada
. Les Mitchell contre les Machines de Michael Rianda et Jeff Rowe
. Cruella de Craig Gillespie
. D’où l’on vient de Jon M. Chu
. Mourir peut attendre de Cary Joji Fukunaga
. Psycho Goreman de Steven Kostanski
Ma critique de Psycho Goreman est à retrouver ici.
. Free Guy de Shawn Levy
. Signal 100 de  Lisa Takeba
Ma critique de Signal 100 est à retrouver ici.
. Hitman : Agent Jun de Won-sub Choi
Ma critique de Hitman : Agent Jun est à retrouver ici.
. The Suicide Squad de James Gunn
. Red Notice de Rawson Marshall Thurber
. Slate de Bareun Jo
Mon entretien avec Bareun Jo est à retrouver ici.

À rattraper :

. La Fièvre de Pietrov de Kirill Serebrennikov
. Cry Macho de Clint Eastwood
. Last Night in Soho d’Edgar Wright
. La Méthode Williams de Reinaldo Marcus Green
. House of Gucci de Ridley Scott
. Ride your wave de Masaaki Yuasa
. Nomadland de Chloé Zao
. La Loi de Téhéran de Saeed Roustayi
. Drive my car de Ryusuke Hamaguchi

Mon TOP 10 des meilleurs films français est à retrouver ici.

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